(…) ‘A la beauté graphique de cet ouvrage sur la démence s’ajoute une forme de poésie textuelle. Léon et sa grand-mère parlent la même langue, une langue dans laquelle les frontières entre la réalité et l’imaginaire sont abolies.’
(…) ‘A la beauté graphique de cet ouvrage sur la démence s’ajoute une forme de poésie textuelle. Léon et sa grand-mère parlent la même langue, une langue dans laquelle les frontières entre la réalité et l’imaginaire sont abolies.’