(…) » ‘Ma grand-mère’ est un ouvrage tout doux, où l’apparence un tantinet surannée de l’ambiance révèle une grande douceur dans la joie simple de ce moment partagé. Dans ce jardin au parfum de ‘zone intermédiaire’, le tragique de la maladie se tient dans une parenthèse végétale, Pas de jugement, pas de contradiction qui éloignerait ce qui peut encore maintenir la relation… A l’inverse probable des adultes, Léon accueille sans s’effrayer, partage sans juger, écoute sa grand-mère et ses histoires pour mieux s’émerveiller. C’est sans doute ça le plus important… »